•  2018... Il y a huit mois, un produit paramétré par les banques et les lobbies a été "élu" président d'un pays qui lui a remis les clefs sur sa bonne tête.

    Depuis, la casse a repris de plus belle, allo ?????? OUi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Vous m'entendez ???

     

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    3 DECEMBRE 2015 - HE, REPUBLIQUE, TU FAIS QUOI DE TES ENFANTS ??????????????????????

    "Je nous accuse – Lettre ouverte à Madame la Ministre de l'Éducation Nationale"

    https://jenousaccuse.wordpress.com/2015/12/04/interview-sur-france-3-paca/

    Interview sur France 3 PACA

     Capture d’écran 2015-12-08 à 21.47.12

    Capture d’écran 2015-12-04 à 19.13.52

     

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    15 JUILLET 2015 - Grèce : la version intégrale de l'accord annotée par Yanis Varoufakis, juste histoire de savoir de quoi l'on parle .............................

    VAROUFAKIS
     
     

    GRÈCE - L'ex-ministre des finances grec Yanis Varoufakis, démis de ses fonctions au lendemain du référendum du 5 juillet, ne s'est pas résigné à prendre une retraite discrète. Au contraire. Après plusieurs interventions musclées et à quelques heures du vote du Parlement sur l'accord du 13 juillet, celui-ci a publié une version intégrale du texte, avec ses remarques et annotations corrosives.

    En voici ci-dessous la version intégrale traduite en français (les annotations figurent en gras):

    "Le sommet de la zone euro souligne la nécessité cruciale de rétablir la confiance avec les autorités grecques [le gouvernement grec doit instaurer une austérité encore plus rigoureuse frappant les citoyens grecs les plus vulnérables, qui ont déjà largement souffert], condition préalable pour un éventuel futur accord sur un nouveau programme du MES [pour un report de ce prêt non viable]. À cet égard, il est essentiel que la maîtrise du processus revienne aux autorités grecques [le gouvernement Syriza doit signer une déclaration stipulant qu’il s’est soumis à la ‘logique’ de la troïka], et les engagements pris dans ce contexte devraient être suivis d'une mise en œuvre effective.

    Il est attendu d'un État membre de la zone euro demandant l'assistance financière du MES qu'il adresse, lorsque cela est possible, une demande similaire au FMI. Il s'agit d'une condition préalable pour que l'Eurogroupe approuve un nouveau programme du MES. La Grèce demandera donc que le FMI maintienne son soutien (surveillance et financement) à partir de mars 2016 [Berlin continue à croire que la Commission n’est pas digne de confiance pour faire la ‘police’ sur ses propres programmes européens de ‘sauvetage’].

    Compte tenu de la nécessité de rétablir la confiance avec la Grèce, le sommet de la zone euro se félicite que la Grèce ait pris l'engagement de légiférer sans délai sur une première série de mesures [la Grèce doit s’infliger à elle-même un supplice de waterboarding fiscal, avant même qu’un quelconque financement soit proposé]. Ces mesures, prises en accord total et préalable avec les institutions, porteront sur:

    - Pour le 15 juillet:

    • Une rationalisation du régime de TVA [le rendre plus régressif, par des hausses de taux qui encouragent la fraude à la TVA] et un élargissement de l'assiette fiscale afin d'accroître les recettes [porter un grand coup au seul secteur grec de croissance – le tourisme].

    • Des mesures directes pour améliorer la viabilité à long terme du système des retraites dans le cadre d'un programme global de réforme des retraites [diminuer les plus basses des petites retraites tout en faisant semblant de ne pas voir que l’épuisement des fonds des caisses de retraite est dû au PSI (ndt : accord de renégociation de la dette avec les créanciers privés) élaboré par la troïka en 2012 et aux effets de la baisse du nombre d’emplois et de la hausse du travail au noir].

    • La garantie de la pleine indépendance juridique d'ELSTAT [la troïka exige un contrôle total sur la manière dont la Grèce élabore son équilibre budgétaire, en vue de contrôler complètement l’ampleur de l’austérité qu’elle impose au gouvernement].

    • La pleine mise en œuvre des dispositions pertinentes du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire, notamment en rendant opérationnel le conseil budgétaire avant la finalisation du protocole d'accord et en introduisant des réductions quasi automatiques des dépenses en cas de dérapages par rapport à des objectifs ambitieux d'excédents primaires, après avoir sollicité l'avis du conseil budgétaire et sous réserve de l'accord préalable des institutions [le gouvernement grec, qui sait que les objectifs fiscaux imposés ne seront jamais atteints avec l’austérité imposée, doit s’engager dans une austérité plus forte et systématique du fait des dernières erreurs de la troïka].

    - Pour le 22 juillet:

    • L'adoption du code de procédure civile, qui représente une refonte en profondeur des procédures et modalités propres au système de justice civile et peut accélérer considérablement les procédures judiciaires et réduire les coûts dans ce domaine [les saisies, les expulsions et la liquidation de milliers d’habitations et d’entreprises qui ne sont pas en mesure de rembourser leurs emprunts].

    • La transposition de la directive relative au redressement des banques et à la résolution de leurs défaillances, avec le soutien de la Commission européenne. Ce n'est qu'après –et immédiatement après– que les quatre premières mesures susmentionnées auront fait l'objet d'une mise en œuvre au plan juridique et que le Parlement grec aura approuvé tous les engagements figurant dans le présent document, avec vérification par les institutions et l'Eurogroupe, qu'une décision pourra être prise donnant mandat aux institutions de négocier un protocole d'accord [le gouvernement Syriza doit être humilié, au point qu’il lui est demandé de s’imposer à lui-même une austérité rigoureuse, en prélude à une nouvelle demande de prêt toxique de sauvetage, ce type même de prêt dont le rejet a fait la célébrité internationale de Syriza].

    Cette décision serait prise sous réserve de l'achèvement des procédures nationales et à condition que les conditions préalables prévues à l'article 13 du traité instituant le MES soient réunies, sur la base de l'évaluation visée à l'article 13, paragraphe 1. Afin de pouvoir servir de base à la conclusion positive du protocole d'accord, les mesures de réforme présentées par la Grèce doivent être sérieusement renforcées compte tenu de la profonde dégradation de la situation économique et budgétaire du pays au cours de l'année dernière [le gouvernement Syriza doit acquiescer au mensonge que c’est lui, et non les tactiques d’asphyxie des créanciers, qui a provoqué la forte détérioration de la situation économique au cours des six derniers mois – on demande à la victime de prendre sur elle la faute qui incombe au méchant].

    Le gouvernement grec doit s'engager formellement à renforcer ses propositions [de les rendre plus régressives et plus inhumaines] dans un certain nombre de domaines recensés par les institutions, en les accompagnant d'un calendrier suffisamment précis pour ce qui est de la législation et de la mise en œuvre, y compris des critères de référence structurels, des échéances et des critères de référence quantitatifs, afin de donner une idée claire de l'orientation des politiques à moyen terme. Il doit notamment, en accord avec les institutions:

    • Mener d'ambitieuses réformes [coupes] des retraites et définir des politiques visant à compenser pleinement l'incidence budgétaire de l'arrêt de la cour constitutionnelle relatif à la réforme des pensions de 2012 [annuler la décision de la Cour favorable aux retraités] et mettre en œuvre la clause de déficit zéro [réduire de 85% les compléments de retraite que le gouvernement Syriza avait défendus bec et ongle au cours des cinq derniers mois] ou des mesures alternatives mutuellement acceptables [trouver des victimes ‘équivalentes’] d'ici octobre 2015;

    • Adopter des réformes plus ambitieuses du marché des produits assorties d'un calendrier précis de mise en œuvre de toutes les recommandations du volume I du manuel de l'OCDE pour l'évaluation de la concurrence [les recommandations auxquelles l’OCDE a désormais renoncé après avoir redéfini ces réformes en coopération avec le gouvernement Syriza], y compris dans les domaines suivants: ouverture des magasins le dimanche, périodes de soldes, propriété des pharmacies, lait et boulangeries, à l'exception des produits pharmaceutiques vendus sans ordonnance qui feront l'objet d'une mise en œuvre à un stade ultérieur, ainsi qu'en ce qui concerne l'ouverture de professions fermées essentielles au niveau macro-économique (par exemple, les transports par ferry). En ce qui concerne le suivi du volume II du manuel de l'OCDE, l'industrie manufacturière doit être comprise dans les actions préalables;

    • En ce qui concerne les marchés de l'énergie, procéder à la privatisation de l'opérateur du réseau de distribution d'électricité (ADMIE), à moins que l'on puisse trouver des mesures de remplacement ayant un effet équivalent sur la concurrence, comme convenu par les institutions [ADMIE sera liquidé au profit d’intérêts particuliers étrangers sous commandement des institutions];

    • En ce qui concerne le marché du travail, entreprendre un réexamen rigoureux et une modernisation des négociations collectives [s’assurer qu’aucune négociation collective n’est possible], de l'action syndicale [qui doit être interdite] et, conformément à la directive pertinente de l'UE et aux bonnes pratiques, des procédures de licenciement collectif [qui doivent être soumises aux caprices des employeurs], selon le calendrier et l'approche convenus avec les institutions [c’est la troïka qui décide]. Sur la base de ces réexamens, les politiques du marché du travail devraient être alignées sur les meilleures pratiques internationales et européennes, sans que cela se traduise par un retour aux politiques antérieures qui ne sont pas compatibles avec les objectifs de croissance durable et inclusive [il ne doit exister aucun mécanisme permettant aux salariés d’obtenir de meilleures conditions des employeurs];

    • Adopter les mesures nécessaires pour renforcer le secteur financier, y compris des mesures radicales concernant les prêts non performants [un tsunami de saisies s’annonce] et des mesures visant à renforcer la gouvernance du Fonds hellénique de stabilité financière (HFSF) et des banques [les Grecs qui gèrent le HFSF et les banques n’auront exactement aucun pouvoir de contrôle sur le HFSF et les banques], en particulier en éliminant toute possibilité d'interférence politique, notamment dans les processus de nomination [sauf l’interférence politique de la troïka]. Par ailleurs, les autorités grecques prendront les mesures suivantes:

    • Élaborer un programme de privatisation nettement plus étoffé avec une meilleure gouvernance; des actifs grecs de valeur seront transférés dans un fonds indépendant qui monétisera les actifs par des privatisations et d'autres moyens [une structure similaire au Treuhand pour l’Allemagne de l’est est envisagée pour liquider tous les biens publics, mais sans l’équivalent des lourds investissements que l’Allemagne de l’Ouest avait déversés à l’est pour compenser le désastre du Treuhand]. La monétisation des actifs constituera une source permettant le remboursement programmé du nouveau prêt du MES et générera sur la durée du nouveau prêt un montant total fixé à 50 milliards d'euros, dont 25 milliards d'euros serviront au remboursement de la recapitalisation des banques et d'autres actifs, et 50% de chaque euro restant (c'est-à-dire 50% de 25 milliards d'euros) serviront à diminuer le ratio d'endettement, les autres 50% étant utilisés pour des investissements [les biens publics seront liquidés et les maigres sommes ainsi obtenues seront destinées au service d’une dette insoutenable – sans qu’il reste rien pour des investissements publics ou privés]. Ce fonds serait mis en place en Grèce et géré par les autorités grecques sous la supervision des institutions européennes concernées [il sera officiellement en Grèce mais, comme le HFSF ou la Banque de Grèce, il sera intégralement contrôlé par les créanciers]. En accord avec les institutions, et sur la base des bonnes pratiques internationales, un cadre législatif devrait être adopté pour garantir des procédures transparentes et une valorisation adéquate des ventes d'actifs, conformément aux principes et aux normes de l'OCDE sur la gestion des entreprises publiques [la troïka fera ce qu’elle voudra].

    • Conformément aux ambitions du gouvernement grec, moderniser et considérablement renforcer l'administration publique grecque, et mettre en place, sous l'égide de la Commission européenne, un programme de renforcement des capacités et de dépolitisation de l'administration publique grecque [faire de la Grèce une zone sans démocratie sur le modèle de Bruxelles, une forme de gouvernement soi-disant technocratique, politiquement toxique et macro-économiquement inepte]. Une première proposition devrait être présentée d'ici le 20 juillet après discussion avec les institutions. Le gouvernement grec s'engage à réduire encore les coûts de l'administration publique grecque [diminuer les bas salaires tout en augmentant légèrement les salaires des quelques apparatchiks proches de la troïka], conformément à un calendrier convenu avec les institutions;

    • Normaliser complètement les méthodes de travail avec les institutions, y compris le travail nécessaire sur le terrain à Athènes, pour améliorer la mise en œuvre et le suivi du programme [la troïka contre-attaque et exige que le gouvernement grec l’invite à revenir à Athènes en vainqueur – la paix carthaginoise dans toute sa splendeur]. Le gouvernement doit consulter les institutions et convenir avec elles de tout projet législatif dans les domaines concernés dans un délai approprié avant de le soumettre à la consultation publique ou au Parlement [le parlement grec doit à nouveau, après cinq mois d’une indépendance éphémère, se faire l’annexe de la troïka – faire passer mécaniquement des lois traduites]. Le sommet de la zone euro souligne une nouvelle fois que la mise en œuvre est capitale et, dans ce contexte, se félicite que les autorités grecques aient l'intention de demander d'ici le 20 juillet le soutien des institutions et des États membres en vue d'une assistance technique, et demande à la Commission européenne de coordonner ce soutien de l'Europe;

    • À l'exception de la loi sur la crise humanitaire, le gouvernement grec procédera à un réexamen en vue de modifier les dispositions législatives adoptées qui sont contraires à l'accord du 20 février puisqu'elles constituent un retour en arrière par rapport aux engagements pris au titre du programme précédent ou il définira des mesures compensatoires clairement équivalentes pour les droits acquis qui ont été créés par la suite [en plus de promettre qu’il ne légiférera plus de manière autonome, le gouvernement grec annulera rétrospectivement toutes les lois qu’il a fait voter durant ces cinq derniers mois].

    Les engagements énumérés plus haut correspondent au minimum exigé pour entamer les négociations avec les autorités grecques. Toutefois, le sommet de la zone euro a clairement indiqué que le fait de commencer des négociations n'exclut pas la possibilité d'un accord final sur un nouveau programme du MES, qui devra reposer sur une décision relative à l'ensemble du paquet (y compris les besoins de financement, le caractère soutenable de la dette et un financement-relais éventuel) [flagellez-vous, imposez plus d’austérité à une économie déjà écrasée par l’austérité, et nous verrons ensuite si l’Eurogroupe vous marquera encore au fer avec de nouveaux prêts toxiques et non viables].

    Le sommet de la zone euro prend acte de ce que les besoins de financement du programme pourraient se situer entre 82 et 86 milliards d'euros, selon les estimations des institutions [l’Eurogroupe a sorti du chapeau un montant exhorbitant, bien supérieur à ce qui est réellement nécessaire, pour souligner qu’une restructuration de la dette est hors de question et que le but du jeu est en fait la servitude infinie de la dette]. Il invite ces dernières à étudier les possibilités de réduire l'enveloppe de financement, en suivant une autre trajectoire budgétaire ou grâce à des recettes plus élevées tirées des privatisations [et d’ailleurs, il est bien possible que les cochons puissent voler]. Rétablir l'accès au marché, ce qui est un des objectifs de tout programme d'assistance financière, diminue la nécessité de puiser dans l'enveloppe de financement totale [ce que les créanciers feront tout pour éviter, par exemple en s’assurant que la Grèce n’accédera au programme d’assouplissement quantitative de la BCE qu’en 2018, une fois que l’assouplissement quantitatif sera… terminé].

    Le sommet de la zone euro prend note des besoins de financement urgents de la Grèce qui rendent d'autant plus nécessaire de progresser rapidement pour prendre une décision sur un nouveau protocole d'accord: d'après les estimations, ces besoins s'élèveraient à 7 milliards d'euros d'ici le 20 juillet, et à 5 milliards d'euros supplémentaires d'ici la mi-août [encore une nouvelle version de report de prêts non viables].

    Le sommet de la zone euro est conscient qu'il importe de veiller à ce que l'État grec souverain puisse régler ses arriérés vis-à-vis du FMI et de la Banque de Grèce et honorer ses titres de créances dans les semaines qui viennent afin de créer les conditions qui permettront de mener à bonne fin les négociations. Le risque de ne pas pouvoir conclure rapidement les négociations demeure entier pour la Grèce [on exige encore une fois de la victime qu’elle prenne sur elle la faute qui incombe au méchant]. Le sommet de la zone euro invite l'Eurogroupe à discuter d'urgence de ces questions.

    Compte tenu de l'acuité des problèmes rencontrés par le secteur financier grec, l'enveloppe totale d'un nouveau programme éventuel du MES devrait inclure la constitution d'un fonds de réserve de 10 à 25 milliards d'euros pour le secteur bancaire afin de pouvoir faire face aux éventuels besoins de recapitalisation des banques et aux éventuels coûts de résolution, dont 10 milliards d'euros seraient immédiatement mis à disposition dans un compte ségrégué au MES [la troïka reconnaît que la recapitalisation des banques en 2013-2014, qui ne nécessitait tout au plus que 10 milliards, était insuffisante – mais, bien entendu, rejette la faute sur… le gouvernement Syriza].

    Le sommet de la zone euro est conscient qu'une décision doit être prise rapidement sur un nouveau programme pour que les banques puissent rouvrir, ce qui permettrait d'éviter une augmentation de l'enveloppe de financement totale [la troïka a fermé les banques grecques pour forcer le gouvernement Syriza à capituler et réclame maintenant leur réouverture]. La BCE/le MSU procédera à une évaluation complète après l'été. La réserve globale permettra de combler les éventuelles insuffisances de fonds propres suivant l'évaluation complète après que le cadre juridique aura été appliqué.

    De sérieux doutes planent sur le caractère soutenable de la dette grecque [NB: sérieusement? Ça alors!]. Cela est dû au relâchement des politiques au cours des douze derniers mois, qui a entraîné la dégradation récente de l'environnement macroéconomique et financier du pays [Ce n’est donc pas le report des prêts de ‘sauvetage’ non viables en 2010 et 2012 qui, conjugué avec une austérité destructrice de PIB, a entraîné la dette sur des hauteurs aussi élevées – c’est la perspective, devenue réalité, d’un gouvernement qui critiquait ces reports de prêts de ‘sauvetage’ non viables qui a… provoqué la non viabilité de la dette].

    Le sommet de la zone euro rappelle que les États membres de la zone euro ont, tout au long de ces dernières années, adopté une série impressionnante de mesures pour soutenir la viabilité de la dette de la Grèce, qui ont allégé le service de la dette de la Grèce et sensiblement réduit les coûts. [les premiers et seconds plans de ‘sauvetage’ ont échoué, la dette explose comme ça devait être le cas puisque le but réel de ces plans de ‘sauvetage’ était de transférer les pertes des banques vers les contribuables européens]. En conséquence, dans le cadre d'un éventuel programme futur du MES, et conformément à l'esprit de la déclaration de l'Eurogroupe de novembre 2012 [une promesse de restructuration de la dette au précédent gouvernement grec n’a jamais été tenue par les créanciers], l'Eurogroupe est prêt à envisager, si nécessaire, d'éventuelles mesures supplémentaires (un allongement éventuel des périodes de grâce et des délais de remboursement) afin de faire en sorte que les besoins bruts de financement demeurent à un niveau soutenable. Ces mesures seront subordonnées à la mise en œuvre intégrale des mesures à convenir dans le cadre d'un nouveau programme éventuel et seront envisagées après le premier réexamen qui aura abouti à un résultat concluant [encore une fois, la troïka laissera le gouvernement grec s’échiner sous le poids d’une dette impossible à rembourser et lorsque, au final, le programme se révélera être un échec, la pauvreté s’amplifiera et les revenus s’effondreront encore plus, alors nous envisagerons peut-être une réduction de la dette – exactement ce qu’a promis la troïka en 2012].

    Le sommet de la zone euro souligne que l'on ne peut pas opérer de décote nominale sur la dette [NB: le gouvernement Syriza a suggéré, depuis janvier, une restructuration de la dette, sans réduction, qui maximisait la valeur nette actuelle des remboursements de la Grèce à ses créanciers – proposition rejetée par la troïka car son objectif était tout simplement d’humilier Syriza]. Les autorités grecques réaffirment leur attachement sans équivoque au respect de leurs obligations financières vis-à-vis de l'ensemble de leurs créanciers, intégralement et en temps voulu [NB: ce qui ne peut arriver qu’après une substantielle restructuration de la dette].

    Pour autant que toutes les conditions nécessaires figurant dans le présent document soient remplies, l'Eurogroupe et le conseil des gouverneurs du MES peuvent, conformément à l'article 13, paragraphe 2, du traité instituant le MES, charger les institutions de négocier un nouveau programme du MES, si les conditions préalables énoncées à l'article 13 du traité instituant le MES sont réunies sur la base de l'évaluation visée à l'article 13, paragraphe 1. Pour contribuer à soutenir la croissance et la création d'emplois en Grèce (au cours des trois à cinq prochaines années) [NB :après avoir déjà détruit la croissance et les emplois au cours des cinq dernières années…], la Commission travaillera étroitement avec les autorités grecques pour mobiliser jusqu'à 35 milliards d'euros (dans le cadre de différents programmes de l'UE) en vue de financer des investissements et l'activité économique, y compris au niveau des PME [utilisera le même volume de fonds structurels, plus quelques fonds imaginaires, comme ce qui était déjà disponible entre 2010 et 2014]. À titre de mesure exceptionnelle et compte tenu de la situation exceptionnelle dans laquelle se trouve la Grèce, la Commission fera une proposition visant à augmenter le niveau de préfinancement d'un milliard d'euros afin de donner une impulsion immédiate aux investissements, dont se chargeront les colégislateurs de l'UE [sur les 35 milliards annoncés, vous pouvez considérer qu’1 milliard existe réellement]. Le plan d'investissement pour l'Europe offrira également des possibilités de financement pour la Grèce [la plupart des ministres des finances de l’eurozone parlent de ce plan comme d’un programme fantôme]".

    12 JANVIER 2015 : la France se réveille heureuse, unifiée, dans le même souffle d'amour, repue des effusions de la veille, le coeur aux anges...

    VOUS ETES TOUS CHARLIE ??? ALORS ON S'INFORME / ON REGARDE DERRIERE LES APPARENCES / ON NE PREND PAS TOUT POUR ARGENT COMPTANT / BREF, ON REFLECHIT ENSEMBLE

         Marée humaine à Paris contre le terrorisme

    Le Président a tout compris : le besoin de cohésion sociale, le refus de ce qui divise, l'importance de la proximité, l'évidence de valeurs plus fortes que le niveau social ou le culte de tel ou tel Dieu.

    Alors, le Président va prendre aujourd'hui même les mesures qui s'imposent :

    1) Il va dire MERDE A LA FINANCE, SA SEULE ENNEMIE et annuler la dette de la France déjà remboursée trop de fois aux banquiers, d'ailleurs Angela en Allemagne est en train de lancer la même initiative.

    2) Il va redistribuer les profits réalisés de façon équitable vers les plus défavorisés, doter les ministères de l'Education Nationale et de la Culture de vrais moyens pour lutter contre l'inégalité.

    3) Il va redonner à Charlie Hebdo, Le Monde Diplo et confrères les subventions qu'ils ne percevaient pas, et les retirer à Télé 7 jours et Closer, histoire de changer un peu.

    4) Il va instaurer un revenu minimum universel de 1 500  €uros par mois et lancer un grand chantier de répartition du travail, des ressources,  et d'encouragement des initiatives.

    5) Il va lancer la grande opération d'arrêt de production du nucléaire et de démantèlement des centrales , assorti de la multiplication des initiatives de productions alternatives, et de modification concertée des comportements de consommation...

    5) Il va lancer le chantier d'une sixième république égalitaire autant que diversitaire....

    Quoi, qu'est-ce-que je raconte ??? ........................  ???

    Ah ben alors c'était quoi hier ?????????????????????????????????????

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    10 JANVIER 2015 : Je suis Charlie, sans doute, mais si je n'étais pas gravement athée, je prierais pour que l'union se fasse autrement qu'en affirmant une identité "occidentale" ou "occidentalisée", bref : on montre tous patte blanche et on pourra continuer... Continuer quoi ??? 

    - A montrer les "arabes" (un arabe est un musulman et vice-versa dans la pensée commune) du doigt en direct ou en douce, à les considérer de facto comme des citoyens de seconde zone, à parler d'antisémitisme mais jamais d'ostracisme anti-arabe ? - Continuer à accepter qu'on nous raconte des histoires de crise économique alors que les financiers pourraient bouffer vingt fois par jour, coucher dans 50 lits, habiter autant de maisons ?

    - Accepter le sempiternel discours du "remboursement de la dette, déjà remboursée n fois ? - Laisser ce quinquennat se poursuivre sans que le début du commencement d'une fermeture, a fortiori de démantèlement de centrale nucléaire ne soit réellement à l'agenda ?

    - Constater qu'il fait vraiment trop doux pour un mois de janvier et entendre que les experts se tâtent pour savoir s'il y a vraiment un phénomène de réchauffement climatique ?

    - Ne pas voir que ce sont les acteurs de la priorité du Profit sur l'Humain qui nous accablent, nous divisent, nous polluent et menacent nos santé, exterminent les richesses et la biodiversité, répondent à notre curiosité par des sornettes pour mieux nous endormir, mais PIRE : NOUS DIVISENT ET FONT DE NOUS N'IMPORTE QUOI, MAIS CERTAINEMENT PAS DES CHARLIE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    Si nous avions tous été Charlie, le journal Charlie Hebdo se serait senti beaucoup moins seul, n'aurait pas été la cible désignée, mais surtout, si nous étions tous Charlie, les monde irait moins mal, les identités bafouées ne se retrouveraient dans des causes suicidaires... Si Si SI nous voulons être Charlie, alors, y a du boulot, mais il n'est jamais trop tard.

    *****

    22 octobre 2014 -

    VOUS ETES TOUS CHARLIE ??? ALORS ON S'INFORME / ON REGARDE DERRIERE LES APPARENCES / ON NE PREND PAS TOUT POUR ARGENT COMPTANT / BREF, ON REFLECHIT ENSEMBLELien vers l'article du Huffington Post

    Mon cher Filoche, de tout coeur avec toi, merci d'avoir exprimé à la télé ce qui semble être une pensée proscrite : paix à l'âme de Margerie, mais en tant que grand représentant du pétrole et tout ce qui va avec (dans le plus grand désordre et sans exhaustivité : magouilles pseudo-diplomatiques, françafrique, petites et grandes compromissions, lobbyings à tous les étages - notamment pour la politique inique de la France en matière de diesel - forcing pour le gaz de schiste, énormes pollutions jamais réparées, inventaire auquel j'ajoute encore les sacrifiés sur l'autel du rendement à court terme, les positions ineptes pro israëliennes, les guerres du Soudan,  du Nigéria et d'ailleurs) je ne salue pas celui qui a contribué à maintenir des discours d'un autre âge et plomber les efforts de l'alternance énergétique. L'histoire s'en chargera, mais nous serons bien loin...

    ***************

    28 JUILLET 2014

    Propos du Maire de Iena (Allemagne) lors du forum de Dunkerque il y a quelques mois, réunissant plus de 400 collectivités européennes en lien avec la Palestine. Il commence en disant je suis allemand, Maire de Iena et pasteur protestant. Et il poursuit : « Je vous demande d’entendre, à cette aune, avec gravité de ce que je vais dire en citant les propos d’Avraham Burg qui disait que le sionisme tel qu’il existe aujourd’hui contribue à la détérioration de l’image de la religion juive dans le monde et qu’il était temps de cesser d’utiliser l’histoire de l’Holocauste pour poursuivre l’occupation et la colonisation. Par ailleurs, rappelant les propos d’un théologien et poète juif, Mr Schröter a rappelé que le bonheur d’un peuple dépend du bonheur des peuples voisins ».

     

    ISRAEL / PALESTINE : LA FOLIE MEURTIRERE, CA SUFFIT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

     


  •  

    21 JUIN 2013 -

    J'ai dû prendre un rythme bien différent, car l'"actualité" plombe une énergie qui m'est devenue rare et précieuse. Il est de toute première urgence que je me garde pour ceux que j'aime, et pour moi-même.

    Depuis plus de 40 ans, je souffre de ce que plus rien n'avance dans la lutte contre les esclavagistes, les nantis, les bouffeurs de vie. Il y a dix ans, mon cher ami Mesmin m'a dit : "Tu ne dois pas porter chaque jour la misère du monde, tu n'en es pas responsable !" En tous cas, cela n'a pas servi à grand chose, notre grande levée d'energie dans les années 70 : Mitterand a été élu et n'a pas contré la vague qui creusait le lit du capitalisme fou, il a signé les traités de la Grande Foire Mondiale dont nous ne sommes plus que la chair à canon, à bouffer mal, à crever la gueule ouverte. Il y a un an, retour des socialistes, retour qui vient voler tous les rêves des péquins qui y croyaient encore et s'imaginaient que Flamby serait plus gentil que DSK... Ah AH AH...... Les cartes étaient déjà battues, de nombreux groupes écolos avaient vendu leur âme aux verts, qui avaient vendu leur âme aux socialistes.... CQFD.

    Ceci explique le peu de suivi de ce blog depuis quelques mois. Un temps, j'ai pensé arrêter.

    Finalement, je laisse ce blog tel qu'il est, comme un témoignage, avec les idées et les renseignements que l'on peut y trouver ça et là, je viendrai juste de temps en temps y livrer une petite bafouille.

    Allez jeunesse, il ne reste plus qu'une solution : LA RUE !!! Les dés sont pipés : il faut changer les règles !

    Attention : si la majorité des partis politiques traditionnels, avec leurs compromis et leurs compromissions, ne sont que des laquais du capitalisme fou, ce n'est absolument pas une raison pour foncer sur l'extrême droite : ça, c'est exactement ce qu'ils souhaitent. Ils utilisent un épouvantail-aimant, distillent de la violence pour nous rendre violents et mieux nous mater.

    L'avenir sera humain, respectueux de la nature, de l'autre... ou ne sera pas.

     


  • Ci-dessous le copié-collé des photos publiées dans Médiapart :

    Que dire de plus ? Les français qui ne sont pas encore trop contaminés par les médias ont démontrés qu'ils ont pleinement conscience :

    - Que la finance est la raison, la cause et le but ultime d'un système global qui se fout des peuples et des territoires

    - Qu'une politiquette social-démocrate n'est pas à la hauteur des enjeux d'une vraie gauche

    - Que nos institutions ne correspondent absolument pas à ce que nous sommes en droit d'attendre, en terme de démocratie, c'est à dire de contrôle des programmes et des élus

    - Pleinement consience, disais-je, de l'iniquité, l'injustice et l'illégitimité des soit-disant DETTES PUBLIQUES.

    Le reste de ce blog aborde tous ces sujets séparément, il adhère à cette marche et propose des pistes d'information

    Amicalement, citoyennement vôtre,

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    Lun. 06 Mai

    Mediapart

    Bastille-Nation, un dimanche 5 mai 2011

    Vu dans le cortège de la marche citoyenne contre la finance et contre l'austérité qui s'est déroulée le dimanche 5 mai à Paris.

     
    01

    Dans le cortège de la marche citoyenne contre la finance et contre l'austérité.

    02

    La manifestation s'est achevée avant 17 heures place de la Nation.

    03

    Le point de départ, à 13 h 30, avait été donné place de la Bastille.

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    Dans le cortège.

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    Dans le cortège.

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    L'appellation officielle est “Marche citoyenne contre la finance et contre l'austérité”.

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    Dans le cortège.

    08

    De gauche à droite: Christian Picquet (gauche unitaire), Pierre Laurent (parti communiste français), Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche) et Clémentine Autain (Fédération pour une alternative sociale et écologique).

    09

    Eva Joly, d'Europe Écologie-Les Verts avait appelé à manifester pour « une renaissance démocratique, sociale et écologiste de notre République » et à ne « pas laisser le monopole de l'action de rue » au Front de gauche. Lire ici.

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    Dans le cortège.

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    Dans le cortège.

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    Au départ, place de la Bastille.

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    Le Parti communiste était aussi de la manifestation.

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    Dans le cortège.

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    À l'arrivée, place de la Nation.

     
     
     

     

     

     


  • 7 MARS 2013 - FRANCOIS HOLLANDE AUX FUNERAILLES NATIONALES DE STEPHANE HESSEL, PENDANT CE TEMPS,  LES OUVRIERS INDIGNES SE RAMASSENT DES GAZ LACRYMOS DANS LA FIGURE....             7 MARS 2013 - FRANCOIS HOLLANDE AUX FUNERAILLES NATIONALES DE STEPHANE HESSEL, PENDANT CE TEMPS,  LES OUVRIERS INDIGNES SE RAMASSENT DES GAZ LACRYMOS DANS LA FIGURE....

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les pneus sont fabriqués ailleurs : de toutes façons, un jour, les bagnoles n'auront peut-être plus besoin de pneus, ou alors, y'aura tellement moins de voitures qu'il ne faudra plus fabriquer autant de pneus... ==>> LA QUESTION N'EST PAS LA !!!

    *** L'économie, l'industrialisation, les projets de société, se font toujours autant "à la corbeille"

    *** Les seuls projets d'alternance économique se font loin de Paris, dans les territoires, avec des bouts de ficelles, mais il faudrait un grand coup d'envoi national pour que cela change quelque chose pour les milliers d'ouvriers à qui l'on présente le chômage et la crise comme les éléments incontournables de la conjoncture actuelle, alors qu'un changement de cap et un traitement islandais des banquiers apporteraient les solutions et l'espoir dans la restructuration de l'activité politique et économique du pays.

    *** La réparation des territoires esquintés par les pollutions diverses, l'arrêt des énergies meurtrières, la transition énergétique, la relocalisation des activités demandent des mains d'oeuvre variées, génèrent de l'activité et de l'espoir.

    *** Cet espoir allumé le temps d'une campagne présidentielle s'essouffle au spectacle pathétique de ce pépère et son équipe qui nous baladent depuis bientôt un an...


  • Manifestations en tous genre Lisbeths est là, filme, et rend compte : alors je lui envoie un grand coup de chapeau et vous invite à regarder de plus près ses viséos, les jours où il vous prend l'envie d'etre informé, au coeur des choses telles qu'elles se sont passées...

    TOUTES LES VIDEOS DE LISBETHS


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  • Voici un petit faire-part de naissance de blog :

    LE BLOG DU 22 SEPTEMBRE SUD EST NE

    Message du collectif :

    "L'inter-collectif du 22 septembre Sud fédère initialement les collectifs citoyens, organisateurs de la journée mondiale du 22 septembre 2012 à St-Christol-lez-Alès (Gard-30), opposés à l'exploration et à l'exploitation des hydrocarbures « non conventionnels » et appelant sans délai à la mise en œuvre d'une véritable transition énergétique maîtrisée et citoyenne." 
     Vous pourrez trouver notamment :

    - Les productions et propositions des différentes commissions (Code minier, Économie/Emploi, International, Lobbies pétroliers, Permis, Transition
    énergétique et Institutions),

    - Des articles sur des thématiques,

    - Les communiqués de presse,

    - Les revues de presse,

    - Les dates de réunion,

    - etc...
     

  • NOUS AVONS PLUS BESOIN DES ABEILLES QUE DES OGMJe relaie ici l'initiative de nombreuses associations qui ont initié une ..." pétition sur www.ogm-abeille.org pour une protection de l’apiculture et des consommateurs face aux OGM.
    Aujourd’hui, la pétition a réuni plus de 300 000 signatures. Nous vous remercions très chaleureusement de votre soutien et nous souhaitons vous tenir informés des suites.

    Un débat parlementaire sur le point de s’engager

    Un débat au Parlement européen va s’engager dans les semaines à venir et jusqu’à mai 2013.
    Dans ce contexte, nous serons auditionnés par la Commission des pétitions du Parlement européen le 21 janvier.
    Par ailleurs, nous remettrons les signatures à la fin du débat parlementaire, en mai 2013.
    Il est donc encore temps de diffuser notre pétition !
    Vous pouvez la faire signer en version électronique ou papier jusqu’au mois de mai.

    Aux origines de la pétition…

    Le 6 septembre 2011, dans l’affaire Bablok, la Cour de Justice de l’Union Européenne a décidé que du miel contaminé avec du pollen de maïs MON810 ne pouvait être commercialisé faute d’autorisation de ce pollen pour l’alimentation humaine. Cet arrêt indique également qu’un étiquetage est obligatoire au-delà d’une présence de 0.9% de pollens issus d’OGM autorisés dans l’alimentation humaine.

    Pour nos organisations, la décision a marqué, au plus haut niveau, la reconnaissance de l’incompatibilité de la culture des OGM avec l’apiculture. La conséquence logique de cet arrêt aurait dû être l’édiction par les Etats membres de règles visant à protéger l’apiculture contre les contaminations par les OGM.
    Malheureusement la Commission a préféré demander aux Etats membres d’attendre avant d’agir.
    C’est pourquoi, il y a un an, la pétition a été créée, puis enregistrée auprès de la Commission des pétitions du Parlement européen.

    Merci encore,
    Bien cordialement,

    Les organisations partenaires de la pétition :

    Agir pour l’environnement, Amis de la Terre, Apis Bruoc Sella, Attac, ASPAS, Biocoop, CONAPI, Confédération Paysanne, Danmarks Biavlerforening, FFAP, FNAB, FNE, FNOSAD, FRAPNA, Générations Futures, GIET Info, Greenpeace, Inter-Environnement Wallonie, LPO, Natagora, Nature et Progrès, Nature et Progrès Belgique, Mouvement de                  l’Agriculture Bio-Dynamique, OGM Dangers, One Voice, Réseau Semences Paysannes, Syndicat National d’Apiculture, UNAAPI, Union Nationale de l’Apiculture Française, Veille au grain..."

                                                                               Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.ogm-abeille.org

    ************************************


  • Non, je ne citerai pas José Bové, J-L Mélenchon, les groupes ceci, les alternatifs cela, car je n'apporterai rien au non-débat soudain évoqué à grand renfort de gens à moitié à poil et hagards que l'on déloge AVEC VIOLENCE aux aurores, de non-violents dont on relate les propos en cadrant au plus près sur leur dreadlocks. Si l'on veut s'informer et faire la part des choses sur le sujet, les sites existent, sur cet éléphant blanc dont le projet tout a tour apparaît et disparaît depuis... 

    40 ans !!!!

    Il y a 40 ans, le choc pétrolier n'avait pas eu lieu, les inquiétudes écologiques n'étaient abordées que par des ultra-marginaux, la Chine, l'Inde, l'Afrique, le Moyen-Orient, l'Amérique du Sud en étaient encore à peu près au moyen-âge en matière de production et consommation de biens, 98% des sociétés européennes pensaient cavaler vers un avenir toujours plus radieux sans se douter que :

    - le plastique allait se fabriquer un continent étouffeur de faune au milieu du pacifique

    - le nucléaire allait générer des catastrophes écologiques majeures

    - le CO2 allait dégeler la banquise

    - et caetera...

    Bref, que 40 ans plus tard, se feraient de plus en plus pressants les sujets tels que :

    - chercher les moyens de freiner le réchauffement climatique

    - limiter des transports pour un oui pour un non

    - consommer éthique, écologique, tout autant que relocaliser des productions et consommations

    ... Bref, c'était il y a 40 ans, autour de la bonne ville de Nantes, dont malheureusement le maire, élu de 1989 à 2012, allait réactiver le projet dès son accession au grade de 1er ministre...

    A qui profitera l'aubaine :

    - pas aux voyageurs, car l'aéroport actuel n'a asolument pas atteint sa limite de saturation, loin s'en faut. Quand bien même ce serait le cas, un simple agrandissement des bâtiments aéroportuaires serait suffisant. Il a même obtenu en 2011 le prix européen du meilleur aéroport décerné par l’ERA (European Region Airlines Association)...

    - pas aux contribuables, le coût de ce projet n'ayant cessé d'augmenter à chaque évaluation.

    - pas aux paysans et aux locaux, délogés de terres extrêment précieuses. Il s'agit d'un sacrifice énorme : 1650 hectares de terres précieuses ( Deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (les bois et landes de Rohanne et des Fosses Noires et les bois, landes et bocage au Sud-Ouest de Notre Dame-des-Landes) seront détruites en cas de construction de  cet aéroport)

    Allez, il n'y a plus qu'à ajouter le maître d'oeuvre retenu pour le projet : Vinci. Egalement une petite précision : Autour d'un aéroport, on bétonne à max, car il faut : des hôtels, des sociétés de louage, des afrrêteurs, etc, etc....

    CQFD


  • ..."Il exhibe son sexe et emmitoufle son mensonge.

    1- Le président du FMI, organisme affameur des peuples, est tombé pour une affaire de moeurs.

    2- Dans le film « Pain et chocolat », un immigré italien échappe à l’emprisonnement en Suisse pour un crime qu’il n’a pas commis. Finalement, la justice ordonne son expulsion parce qu’il a fait pipi en plein air. Bon, le tout était de le virer et de montrer que le pouvoir est vertueux.

    3- Services secrets US : démission due à un adultère. La presse s’alarme : « Scandale de la CIA : l’éthique des officiers en ligne de mire. » Ethique à la CIA ? Cherchez l’erreur. Ces gens-là enlèvent des innocents (1) partout dans le monde (extraordinary rendition), espionnent tout un chacun, torturent ou font torturer, assassinent en catimini, fomentent des coups d’Etat, organisent des trafics de drogue, achètent les médias, fabriquent de fausses nouvelles, etc.

    4- Pierre Bourdieu avait raison : « Les faits divers sont des faits de diversion ».

    Téophraste R. (Sous-Chef adjoint du service « Désenfumage » au GS)...."






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